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Note moyenne de la rencontre La Rochelle-Pau |
Avis général : Une victoire poussive reste une victoire. Pour accéder à la demie à Deflandre, le Stade Rochelais devait au moins en comptabiliser 2 sur ses 3 matchs restants. Quand on connaît leur résultat à l’extérieur, on comprend combien ce match contre la Section Paloise, adversaire direct pour les barrages, était important. Les Maritimes se sont imposés 13 à 6, mais ne nous rassurent pas vraiment pour la suite. Il règne toujours cette impression d’une équipe évoluant à 9 : les « gros » et le botteur, les autres semblant souvent faire de la figuration. Parfois, un ailier tente un exploit personnel, mais au niveau du groupe, rien de très convaincant. Si ce match était le dernier à Deflandre, les quelques 17 joueurs qui quittent l’ASR ne doivent pas partir la tête haute, et doivent être assez déçus de cette dernière copie rendue. C’est dommage ! Homme du match : Bien sûr, il est tentant de parler de Robert Mohr parce qu’il a une nouvelle fois aidé son pack et son équipe, mais aussi parce qu’il aura été un élégant et valeureux capitaine. Un grand merci ! Cependant, ce match a, encore une fois, été tenu à bout de bras par le 8 de devant, dans son intégralité. L’homme du match, c’est eux. Ils pallient au maximum les insuffisances des trois-quarts. Les performances de Christophe Lafoy, Stéphane Clément et Thomas Soucaze ont été particulièrement remarquables lors de ce match. Boulet du match : Les matchs se suivent et se ressemblent (trop) cette saison : on peut encore parler de l’indiscipline dans les deux camps (même si seul Andres Bordoy a écopé d’un carton jaune), du manque d’investissement de la ligne arrière rochelaise, à l’exception sans doute d’un Florian Ninard motivé, et d’un Maxime Le Bourhis qui tente toujours de renouer avec le jeu. En outre, les blessures de Sébastien Boboul et Sébastien Laloo en environ 30 minutes ont été un handicap pour ce match (à l’aile Julien Berger était perdu), et peuvent l’être pour les quelques matchs restants. Action du match : L’essai de pénalité (49’) Il démontre bien la force de La Rochelle, et sa seule force pour en cette saison 2011-2012 : son pack d’avants. Ils ont arraché la victoire rochelaise. A l’image de cette année, ils ont su maintenir La Rochelle à flots. |
Avis sur le match : C'est un véritable "quart de finale" qui s'est déroulé à Marcel Deflandre. Après un début de match âpre et accroché, les Rochelais ont pris l'ascendant en début de seconde période, grâce à un pack dominateur une fois de plus. La fin de match a été très tendue mais ils ont su résister jusqu'au bout aux assauts palois. La victoire était impérative, les Rochelais sont allés la chercher de haute lutte. Le bastion de La Rochelle est resté imprenable cette saison (15 victoires en 15 matchs), ce qui est une très belle performance. Le bémol, c'est que Pau repart avec un bonus défensif qui pourrait compter au final. Les Rochelais se retrouvent dans une situation paradoxale: 2e au classement, il devront encore "cravacher", lors des deux derniers déplacements pour accéder aux demi-finales. Homme du match : Robert Mohr. Comment pourrait-il en être autrement? Pour sa fidélité et son engagement sous les couleurs "Jaune et Noir", Robert Mohr a largement mérité l'ovation du public présent. Son entrée, seul sur la pelouse, a été un intense moment d'émotion pour tous les supporters présents. Espérons que ses coéquipiers lui offriront le plus beau des cadeaux pour son départ: une montée en Top 14! Danke M.Robert! L'action du match : L'essai de pénalité (48'). Le pack rochelais a encore fait du bon boulot hier. Lorsque les arrières n'arrivent pas à trouver la faille, on peut compter sur le "monstre à 16 pattes" Jaune et Noir pour décanter la situation. La domination rochelaise en mêlée a été récompensée à la 48', par un essai de pénalité, alors que les avants adverses étaient à l'agonie. Le boulet du match : Il n'y a pas un joueur en particulier à blâmer mais je regrette une nouvelle fois le bonus défensif (pas immérité toutefois) laissé aux Palois. Il ne faut pas se voiler la face, malgré cette victoire, la demi-finale à domicile sera difficile à aller décrocher. La Rochelle va devoir se déplacer deux fois chez des adversaires qui n'auront aucune pression. Vu nos résultats à l'extérieur cette saison, on peut être perplexe. Dans le même temps nos adversaires direct auront un calendrier plus favorable. De toute façon, à l'extérieur ou à domicile, il faudra compter sur les supporters rochelais pour les phases finales! |
Avis général sur le match : Décidément, à l’ASR on ne changera pas cette année une équipe qui bredouille son rugby, qui joue à « qui se fait peur en gagnant de justesse ? », le nouveau jeu à la mode du côté de Deflandre… Même si des contraintes familiales m’ont privé de la 1ère mi-temps (3-6, au cours de laquelle, parait-il, je n’ai rien manqué !), j’ai alors dû ingurgiter, comme 11.456 autres spectateurs, un « service minimum », toujours le même plat re-re-réchauffé, celui qui nous est sans cesse resservi depuis août 2011 (ça devait être hier le 13ème ou le 14ème de la saison sur les 15 festins promis et espérés ! Les gros sont vaillants, parviennent à marquer ou à faire marquer 1 essai, voire 2 les grands jours, puis on s’en remet à la botte de l’artilleur FAUQUE… Ensuite, lors du money-time, on ne maitrise plus rien. Ce n’est que « sauve-qui-peut » !... même lorsque vous avez Eole qui souffle pour vous. Pour tout dire, il n’aurait pas été scandaleux que l’adversaire reparte avec le partage des points. Ensuite l’encadrement vient tout guilleret nous expliquer que notre défense a été héroïque ; voilà l’ambition ASR à domicile, quant à l’extérieur, pensons à Grenoble ou à Périgueux… Homme du match : Sébastien FAUQUE continue de « tenir la baraque » en enquillant des points. Mais bravo aux avants qui sont fringants et techniques. Merci aussi à Monsieur l’arbitre qui nous a aidés à marquer l’essai qu’on ne parvenait pas à enquiller seuls, malgré un net ascendant des avants. Le boulet du match : Notre manque de maitrise, de gestion du score et cette foutue fébrilité omniprésente qui viennent annihiler toute l’énergie dépensée !... L'action du match : Le pilonnage en règle (de la 47 à la 49ème) de nos avants sur la ligne des 5m adverse… jusqu’au prompt coup de main de Monsieur RUIZ. |